Chapitre 19

« Une journée de chiotte »



Aujourd’hui, les 2C sont de sortie avec les enfants. Allez, un petit tour dans la rue piétonne ! Les gamins excités, comme d’habitude. Les deux mamans leur crient dessus, à tour de rôle. Rien de plus classique, quoi…
Mais tout-à-coup, Lulu regarde sa mère et lui dit tout fort : « Maman, j’veux faire caca ! ». Vivie lui fait signe de parler plus doucement et lui dit qu’elle n’a qu’à se retenir. « Maman, c’est urgent, faut qu’je fasse caca !!! ».
Alors là, c’est le truc bien chiant. Et c’est le cas de le dire. Comment faire ? En plus, toute la rue piétonne est au courant, à présent. Le truc qui met vachement bien à l’aise, quoi. Dudu explose de rire et dit à Vivie : « Ah, ben ça, c’est pas de cul ! Débrouille-toi, t’es dans la merde ! Hihihi… »
Bon, ça urge, il faut vite trouver une solution. « Ca y est, j’ai trouvé ! Suivez-moi ! », s’écrie Vivie. Toute la troupe la talonne, alors. Ils arrivent enfin à destination. La bibliothèque municipale des enfants !
Ils font alors diversion. Lulu court aux toilettes, et le reste de la tribue feuillette les livres. Puis, on entend crier : « Maman, j’ai fini de faire caca, tu viens m’essuyer !? ». Et oui, toujours dans la discrétion. Ben oui, faut bien les réveiller un peu dans cette bibliothèque, c’est un peu monotone, tout-de-même. En fait, une fois sur place, les quatre autres en auront également profité pour faire la pause-pipi, tant qu’à faire…
Résultat des courses, encore mieux que des toilettes publiques. Non seulement, tous les cinq se seront soulagés, gratuitement ; mais en plus, ils repartent avec des livres. C’est pas le top, ça ?
Le soir, Dudu invite Vivie, Greg et leurs enfants à venir manger à la maison.
Dès leur arrivée, Lulu, fidèle à elle-même part aux W.C.(lulu a aussi une habitude , c'est de chanter en faisant CACA !!!) Et là, pas de bol, la chasse reste bloquée. L’eau coule constamment, impossible de l’arrêter. C’est là, que du coup, ils se rendent compte qu’il n’y a même pas la possibilité de couper l’arrivée d’eau. Ils décident alors de démonter la chasse. Mais, naturellement, impossible de trouver le bon tournevis qui s’adapte. Pendant ce temps, ça continue toujours à se remplir. Bon sang, que faire ? Tout le monde s’agite dans la maison, pour essayer de trouver une solution. Voilà presque trente minutes que ça coule toujours. Décidément, les toilettes auront fait beaucoup parler d’eux, aujourd’hui. Finalement, à force de faire pression sur la chasse d’eau, celle-ci s’arrêta enfin.
C’est ce qu’on appelle, une journée de chiotte !

Chapitre 18

« L’after-Casino »

Après les péripéties du Casino, les 2 C, décidèrent de ne pas en finir là. Après tout, on est samedi soir et il n’est que 22h30.

Et, qui dit samedi soir, dit concert à « L’endroit ». Boire un verre, devant un groupe, c’est tout-de-même plaisant. Et comme ça, ce coup-ci, Vivie sera de l’autre côté du décor. Ca changera un peu d’entendre les autres jouer.

Elles arrivent, donc, devant le fameux bar. Et là, pas de chance, c’est fermé !

Bon, ben, on va se rabattre sur « Le Cactus » ou « Le Big Boss ». Et là, se fut un itinéraire sans fin. Elles arrivent sur le bord de mer, celui-ci est fermé. Une tempête fait rage, du coup, la circulation y est interdite. Elles font plusieurs détours pour atteindre le parking, mais, c’était un point sans retour. Elles firent tellement de va-et-vient, afin de trouver l’entrée, qu’elles eurent d’ailleurs le temps de se raconter leur vie. Et oui, après tout, ça ne fait que 3 mois que les 2C se fréquentent ; au grand étonnement de nombreuses personnes, qui sont persuadées, en voyant une telle complicité qu’elles se connaissent depuis des lustres. Pendant qu’elles roulent, elles continuent donc à faire connaissance. L’heure tourne. Une histoire de fou, « La 4^e dimension ». Elles firent trois fois le tour et se retrouvaient toujours au même point, incapables de trouver l’entrée du parking.

Enfin, elles arrivèrent, finalement, tant bien que mal, par atteindre leur but. Elles se garent, affrontent la tempête à pieds, en prenant garde de ne pas s’envoler. Et une fois, qu’elles se retrouvèrent devant les deux bars, pas un chaton ! Comme elles n’avaient pas envie de se retrouver toutes les deux paumées dans un bistrot, elles décidèrent de se rabattre sur « Le Piccadilly ».

Il n’y a pas foule non plus, mais bon, elles ne vont tout-de-même pas se taper la tournée des bars de la Côte.

Elles se prennent donc une table et se commandent une "Désespérados"chacune (vivie dit : cherchez l'erreur !!! non çà existe pour delph .) . Ca, c’est du langage à la Dudu, faut pas chercher à comprendre.

Elles se repassent en revue leur soirée. Le Casino, un samedi soir, vingt heures trente, personne dehors, la tempête, le manège en voiture qui commençait à leur donner le tournis.

Dans le fil de la discussion, Vivie parle d’une personne à Dudu, mais cette dernière n’arrive pas à se mémoriser la tête de la personne concernée. Elle explique donc à Vivie qu’elle n’est pas photogénique. « C’est pas plutôt fusionomiste », lui rétorque cette dernière. Et c’est reparti pour un fou-rire !( Vivie dit : " c'est sympa la copine qui dit qu 'on a une sale tronche !!!! mais heureusement que c'est pas çà !!!!!).

Allez, une petite photo. Ca sera la deuxième de la soirée. Après la photographie qui a failli leur coûter la prison, celle-ci sera bien moins risquée. On a quand-même eu du mal à se trouver un endroit pour se poser, alors, un cliché souvenir.

Dudu adore les photos prises avec le retardateur. Cette dernière met un temps fou à régler l’appareil. Un homme, la voyant galérer, lui propose gentiment de les prendre en photo. Dudu refuse poliment en lui expliquant qu’elle a l’habitude. Finalement, les réglages terminés, elle enclenche le retardateur sur son téléphone, rejoint Vivie pour la photo. Elles prennent la pose, un sourire ravi, et… « Paf ! ». L’appareil tombe au sol. Du haut de la table, ça risque de pas lui avoir fait du bien. Le sourire de Dudu se métamorphose en air ahuri et court le ramasser. Heureusement, il n’a pas souffert de la chute.

L’homme qui sétait proposé une première fois revient offrir son aide. Finalement, Dudu finira par accepter. Elle lui confie son téléphone afin qu’il prenne la photo.(il le fit tomber , tu t'en souviens pas dudu ? tu as ri jaune....) En partant, elle érafle l’homme. Ce dernier la branche et lui dit qu’elle lui a donné un coup de sein. Chose peu probable, car, elle est loin d’être une Lolo Ferari. Les 2 C se mettent à rigoler de plus belle, en se disant que le mec doit vraiment être bourré pour dire une chose pareille. Donc, elles imaginent à l’avance le résultat de la photographie…

Décidément, elles ont la guigne avec les photos, ce soir !

voici la photo finale :

Chapitre 17

« Sortie au Casino, deuxième ! »



« Et si on se refaisait une soirée Casino ? ». En voilà, une idée, qu’elle est bonne ! Les 2 C décident donc de se refaire une virée au Casino de Menton.
Elles rentrent toutes les deux comme deux vieilles habituées. Après tout, elles connaissent, maintenant. Le change des pièces n’a, à présent, plus de secret. Pas deux fois la même gourde… Ce coup-ci, c’est décidé, elles ne se feront pas remarquer !
Maintenant, elles vont rejoindre leurs machines attitrées. Ben, oui, elles veulent la même que la dernière fois. Dorénavan, ce seront leurs machines attitrées. Après tout, Vivie a gagné vingt euros, la dernière fois. Il faut que la machine se rappelle d’elle, comme ça, à force, elle finira bien par cracher, bon sang !
Mais voilà, leurs machines sont occupées. Elles décident alors de faire un petit tour, histoire de faire un repérage des lieux.
Et là, pour passer inaperçu, c’est un peu râté. Vivie trébuche avec la moquette du Casino et manque de peu de se retrouver par-terre. Elle réussit à se rattrapper de justesse. Par contre, on ne peut pas en dire de autant de son seau de pièces. Et oui, vous l’avez bien compris, « lâchage de pièces », toute la monnaie se répand sur le sol ! Donc, faîtes le compte : vingt euros en pièces de vingt centimes. Ca fait pas mal à ramasser. Une centaine de pièces à ramasser un peu partout dans la salle. Sacrée Vivie !!! Voici à présent les 2 C à quatre pattes, pétées de rire, à tenter, tant bien que mal, de récupérer toute cette ferraille, entre les machines et les pieds des gens. C’est d’une noblesse !
Une fois qu’elles eurent tout ramassé, elles réussissent enfin à mettre la main sur leurs machines fétiches. Pour se remettre de leurs émotions, elles décident de commémorer ce moment en se prenant en photo. Allez, un petit sourire, et « Clic !».
Et là, elles comprennent pas trop ce qui leur arrive. C’est la photo qui leur aura presque coûté la prison ! Tout-d’un-coup, surgit de nul part, Rambo ! En fait, il faut préciser qu’il s’agit d’un petit con de vingt ans, qui joue les vigiles. Mais, il s’y croit à bloc !!! Il agresse les 2 C, en leur hurlant qu’il est interdit de prendre des photos dans le Casino. Elles qui avaient l’intention de se photographier à tour de rôle, c’est plutôt mal barré… Zut, alors, en plus, elles ont bougé, la photographie sera trouble.
Du coup, Dudu regarde Rambo avec un grand sourire et lui dit d’un air suppliant : « Allez, s’il vous plaît, encore une ! Après, on arrête ».
Qu’est-ce qu’elle avait pas dit là. Ce dernier devint rouge de colère et s’écria : « Non, mais vous plaisantez ? Vous en avez déjà pris une, et c’est une de trop ! ».
« Juste une dernière, s’il vous plaît ! Je vois pas où est le problème, on fait rien de mal… », insista Dudu.
Vivie, sentant que ce dernier était prêt à les mettre à la porte, fit signe à Dudu de laisser tomber.

Résultat de la soirée :
Elles ont répandu toutes les pièces sur le sol du Casino, pour voir si ça pouvait pousser.
Elles ont failli se faire vider du Casino.
Et en plus de ça, elles ont, toutes les deux, perdu leur mise.
Elles sortent donc bredouille, mais avec la photo interdite, un peu floue, mais, celle-là, elles la garderont quand-même…

CHAPITRE 16

Chapitre 16

« Les mamans s’amusent autant que les gosses. »

Pourquoi, n’y aurait-il que les enfants qui puissent s’amuser ? Après tout, y’a pas de raison…

Et oui, à leurs heures perdues, les deux mamans font mumuse. Comme vous l’avez lu précédemment, la Wii les éclate pas mal, lorsqu’elles jouent au Trivial Poursuit (vivie dit : « que delphine ne connait pas le bouton A de la manette , elle ne l 'aime pas cette lettre !!!!, je suis obligée d'attendre 1h.... »). Mais ce n’est pas le seul jeu qu’elles apprécient. A Noël, Vivie et Greg ont offert la guitare Heroe à Dudu, afin qu’elle puisse s’en servir sur sa Playstation. Je profite d’ailleurs de l’occasion pour préciser que la prononciation anglophone de cette dernière est loin d’être au top. En effet, il y a des mots qui font éclater de rire Vivie, à chaque fois que Dudu les prononce : Playstation, se dit Pleillestéssione ; Ebay, ça donne Ebeille, et bien d’autres, encore…

Quelques jours après, un concert virtuel sur la Wii eut lieu, chez Vivie. Il y eut même la batterie Heroe. Ca a beaucoup plu à Dudu, par contre, ses mains s’en sont rappelées longtemps. Le fait de tambouriner comme une acharnée, elle se retrouva avec des méga-cloques ! Imaginez comme la soirée a dû être agitée… Elle en garda les séquelles pendant plus d’une semaine.

Après, il y a le Poker, sur Facebook. Là, les parties sont interminables. Mais aucun souci pour les 2 C, ce sont des couches-tard. Là aussi, les nombreux fou-rires ont leur place, car ces deux-là sont constamment branchées sur msn, avec leur webcam(donc on se dit les cartes mdr pas de chance pour les adversaires de vivie et dudu lol). Entre Lulu qui appelle sa mère en pleine nuit, à minuit, pour qu’elle vienne lui raconter une histoire, alors qu’il y a l’école le lendemain. Ou encore, Dudu, qui se retrouve en panne de batterie avec sa souris sans-fil, en pleine partie. Bien évidemment, ce genre de chose ne peut arriver qu’au moment où elle a un super jeu en mains, alors qu’elle a passé la soirée à perdre. Il ne faut surtout pas râter cette partie-là. Du coup, imaginez la scène. Elle la rebranche vite afin de la recharger, mais le fil, qui est coulissant se bloque. Elle est, à présent, accroupie par-terre, pour ne pas perdre sa partie. Seulement voilà, maintenant, le fil est trop court. Dudu s’affole et tire comme une folle sur le fil de charge. Mais, tout-d’un-coup, le ressort se décoince, ce qui donne une souris qui s’envole derrière l’unité centrale. Bref, une partie perdue pour Dudu et un véritable spectacle comique pour Vivie, qui vit tout en direct…

Résultat : une qui hurle de rage sur son ordinateur, et l’autre qui est pliée de rire devant son écran.

(vivie dit : « Je précise que dudu a une web cam de ….. , en forme d' ourson ou je sais pas quoi ,ah !! peut être un chien qui est trés fatigué, qui tombe tout le temps et des fois me fait voir des trucs bizarres des fois pas d 'image et aussi pas de son ou bien elle me fait voir le sol, très bien le sol à dudu lol !!!!!).